• Villes d'Europe

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    On a beaucoup parlé de Londres ces derniers temps, suite au décès de la reine Elizabeth II. A cette occasion je me suis replongée dans les photos que j'avais prises lors d'un week-end dans la capitale britannique, en mars 2008, avec ma fille ainée qui avait alors 12 ans. On avait passé pas mal de temps dans les parcs, et aussi visité quelques monuments emblématiques de la ville.

    Hyde Park est le plus grand parc du centre de Londres. Si on lui ajoute Kensington Garden, dont il n'est séparé que par la Serpentine, un plan d'eau tout en longueur, on arrive à une surface de 250 hectares d'espaces verts. Les parcs parisiens sont ridiculement petits en comparaison.

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    De nombreux palmipèdes peuplent les plans d'eau du parc : bernaches, canards, foulques etc. Les Cygnes tuberculés (Cygnus olor) qui vivent à l'état sauvage au Royaume-Uni ont un statut très particulier : en effet, depuis le XIIe siècle, ils appartiennent tous au roi ou à la reine d'Angleterre. La raison officielle est qu'en ces siècles reculés, les cygnes étaient considérés comme un met de choix pour les banquets et les fêtes royales. Rassurez-vous, les temps ont changés, le nouveau roi Charles III n'a pas prévu de mettre ces gracieux volatiles au menu de ses réceptions. Dans les faits, seul les cygnes vivant sur la Tamise sont gérés par les services de Sa Majesté. Un gardien leur est affecté à plein temps. Chaque mois de juillet, les cygnes de la Tamise sont capturés, marqués et pesés puis relâchés.

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    St James's Park est le plus anciens des 9 parcs royaux de Londres. Il est situé tout près de Buckingham Palace, de l'abbaye de Westminster et du Parlement britannique. C'est l'endroit idéal pour faire une pause lors de la visite du quartier. Bien plus petit que Hyde Park, il s'étend sur 23 hectares soit approximativement la surface du Jardin du Luxembourg.

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Les Ecureuils gris (sciurus carolinensis) sont ici très nombreux et peu farouches. Ces écureuils ne sont pas originaires d'Angleterre mais proviennent d'Amérique du Nord. Ils ont été introduits comme animal d'agrément au XIXe siècle et se sont très bien acclimatés au climat anglais. De nos jours ils sont considérés comme une espèce invasive responsable du déclin de l'Ecureuil roux et de dégâts dans les forêts. Cependant, nous les avons trouvés plutôt mignons et amusants.

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    A St James's Park, on trouve un autre animal qui n'a pas vraiment sa place dans l'écosystème local : le Pélican blanc (Pelecanus onocrotalus). Il s'agit ici encore d'une tradition perpétuée depuis plusieurs siècles : les premiers pélicans sont arrivés à St James's Park en 1664. Ces oiseaux exotiques étaient un cadeau offert au roi par l'ambassadeur de Russie. Les relations entre la Russie et l'Angleterre devaient être meilleures à l'époque.
     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    Dans les parcs de Londres

     

    J'avais aussi photographié quelques monuments de Londres, mais il faisait bien gris ce week-end là, les photos ne sont pas très belles. J'ai seulement retenu cette photo d'un des ponts les plus connus de la capitale britannique, le Tower Bridge, situé comme son nom l'indique près de la forteresse de la Tour de Londres. Ce pont de style néo-gothique a été construit en 1894 pour relier les deux rives de la Tamise. C'est un pont basculant, un des plus grands et complexes construits à cette époque, qui permettait le passage des grands voiliers, tout en laissant les piétons l'emprunter par la passerelle supérieure. Il a été modernisé plusieurs fois depuis, tout en gardant son architecture d'origine.
     

    Dans les parcs de Londres

     

    Après cette petite escapade londonienne, je vous propose de nous retrouver prochainement de l'autre côté de la Manche, en Bretagne, avec de vrais oiseaux sauvages, qui n'ont ni roi ni maître.


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    Le couvent de Novodievitchi est un monastère situé au sud de la ville de Moscou, dans un méandre de la rivière Moscova. Depuis la Place Rouge, un trajet de 35 minutes en métro permet de s'y rendre. Contrairement au jour précédent, où nous avons visité le Kremlin sous le soleil, ce jour là le ciel était gris. Autre inconvénient de la fin du mois d'octobre, la plupart des églises et bâtiments du site étaient fermés. Mais ce couvent vaut tout de même le détour si vous séjournez dans la capitale russe.

    Le monastère est entièrement entouré de murailles agrémentées de plusieurs tours. Sa construction débuta en 1524, il y a donc pratiquement 5 siècles. Presque inchangé depuis le XVIIe siècle, il est classé au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2004. Occupé par des nonnes depuis sa fondation, il accueillait aussi des jeunes filles et des femmes de la noblesse russe, souvent obligées de prendre le voile pour des raisons politiques ou familiales. Les familles de ces dernières faisaient d'importantes donations au monastère, qui est ainsi devenu un des plus riches de la région. Il fut transformé en musée de la libération des femmes pendant la période soviétique (parfois, les communistes avaient un certain sens de l'humour). Les religieuses sont revenues en 1994.

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    L'église de la Transfiguration, construite au dessus de la porte nord du monastère, est un exemple typique du baroque Ukrainien. C'est par là que l'on arrive quand on vient du métro.

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    La cathédrale de la-Vierge-de-Smolensk est la plus grande et la plus ancienne église du couvent. Elle aurait été construite par un architecte italien, comme certaines églises du Kremlin.

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    A côté de la cathédrale, se dresse un clocher de 72 m de haut, achevé en 1690. Cette tour octogonale de 6 étages est un des meilleurs exemple du baroque moscovite. Deux églises sont installées à l'intérieur du clocher.

    Le couvent de Novodievitchi

     

    L'église de l'Intercession de la Vierge se trouve au dessus de la porte Sud. Cette porte mène au cimetière de Novodievitchi, qui abrite les tombes de plusieurs personnages célèbres, tels que le président Nikita Khrouchtchev, l'écrivain Nicolas Gogol ou le compositeur Serge Prokofiev.

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Le couvent de Novodievitchi

     

    L'église de la Dormition de la Vierge se trouve au milieu du jardin du monastère. Le réfectoire des nonnes est accolé à l'église. Comme beaucoup de bâtiment du monastère, celui-ci fut construit sur les ordres de la régente Sophie, sœur du tsar Pierre le Grand. A sa majorité, Pierre fit enfermer son encombrante sœur à Novodievitchi. Elle s'occupa en faisant embellir le couvent.

    Le couvent de Novodievitchi

     

    Les photos de cet article ont été prises fin octobre 2010. La plupart des églises étaient fermées lors de notre visite, mais il semble que nous ayons eu de la chance, car depuis plusieurs années des travaux de restauration ont été entrepris et de disgracieux échafaudages cachent une partie des bâtiments. Les travaux devraient se terminer en 2022.

    Ici s'achève cette série sur Moscou. Un séjour trop court mais de très beaux souvenirs !


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    Le mot "Kremlin" désigne en russe les fortifications qui entourent le centre historique d'une ville, en particulier les infrastructures militaires, les bâtiments du gouvernement et les principaux lieux de culte. Il existe par exemple un kremlin à Novgorod, à Kazan, à Smolensk etc. Le plus connu d'entre eux est bien sur celui de Moscou, centre du pouvoir de l'empire russe jusqu'à la construction de la ville de Saint-Pétersbourg par le tsar Pierre le Grand en 1703. Après la révolution bolchevique de 1917, le Kremlin de Moscou devint le quartier général de l'état soviétique. De nos jours, c'est toujours le siège du gouvernement de la Fédération de Russie.

    La visite du Kremlin de Moscou, classé au patrimoine mondial de l'Unesco, est un incontournable d'un séjour dans la capitale russe. De nombreux bâtiments érigés à l'intérieur de l'enceinte se visitent, en particulier les  églises. C'est surtout ces dernières que j'ai pris en photo, car je les trouvent vraiment trop jolies.

    L'église des Douze Apôtres date dans sa forme actuelle de 1680. Elle renferme une magnifique iconostase du XVIIe siècle provenant d'un couvent.

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    La cathédrale de la Dormition de la Vierge est la plus ancienne et la plus grande de toutes les églises du Kremlin. Elle avait une importance particulière car c'est ici qu'étaient couronnés les tsars et qu'avaient lieu les mariages royaux. La cathédrale de la Dormition était aussi le siège de l'église russe. Construite entre 1475 et 1479 par l'architecte italien Fioravanti, auteur d'une synthèse magistrale entre la renaissance italienne et l'architecture traditionnelle russe, c'est la première église en pierre de Moscou.

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    La cathédrale de l'Annonciation était la chapelle privée des tsars. Toute blanche avec ses bulbes dorées, elle permet d'imaginer l'aspect de la cathédrale Basile-le-Bienheureux au temps de sa construction. En arrière plan, on devine le Grand Palais du Kremlin.

    Le Kremlin de Moscou

     

    La cathédrale de l'Archange-Saint-Michel fut aussi construite par un architecte italien, nommé Alosius le Jeune. Edifiée au tout début du XVIe siècle, cette église veillait sur la dynastie des tsars, dont l'archange Saint Michel était le protecteur. Les victoires de l'armée russe y étaient célébrées.

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le clocher d'Ivan le Grand est une église clocher composée d'une seule tour, construit à l'entrée de la place des Cathédrales du Kremlin. Ce clocher, le plus haut du Kremlin (il mesure 81 m de haut), sert aussi de campanile aux églises de la Dormition, de l'Archange-Saint-Michel et de l'Annonciation, qui se trouvent sur la même place. A côté, une petite église dédiée à la Nativité a été rajoutée quelques années après la construction du clocher.

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    La cathédrale Verkhospasskaïa, aussi appelée les églises des Terems, est un complexe de chapelles et d'églises privées incluses dans le palais des Terems, autrefois résidence des tsars et de nos jours résidence officielle du président russe. Elles ne se visitent pas, mais on peut en apercevoir les bulbes depuis l'extérieur des bâtiments.

    Le Kremlin de Moscou

     

    L'enceinte du Kremlin renferme aussi de nombreux jardins et espaces verts, depuis lesquels on aperçoit telle ou telle tour des fortifications ou même des bâtiments se trouvant à l'extérieur. Je vous laisse retrouver la Tour du Sauveur et le clocher de Basile-le-Bienheureux. 
     

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    Le Kremlin de Moscou

     

    Dans le prochain article, nous nous éloignerons un peu de la place Rouge pour aller visiter un monastère, que nous avons rejoint en métro. Le métro de Moscou mériterait à lui seul un article entier, malheureusement mes photos ne sont pas très belles, je les garde seulement pour mes archives ! 


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    En ce début d'année nous partons pour la Russie, et plus précisément sa capitale, Moscou. La visite commence par la place Rouge, haut lieu de l'histoire russe, située au centre de la ville. Contrairement à ce que l'on peut imaginer, le nom de cette place ne fait pas référence au communisme, ni à la couleur des bâtiments environnants. Son nom vient en fait d'un mot russe qui signifie à la fois "rouge" et "beau". L'histoire de la "belle place" remonte à 1493, lorsqu'un gigantesque incendie ravagea Moscou. Le tsar de l'époque, Ivan III le Grand, décida alors de faire détruire tous les bâtiments en bois qui encombraient le quartier, ce qui créa cette esplanade monumentale. La place Rouge est bordée à l'est par la cathédrale Basile-le-Bienheureux, au sud par les murailles du Kremlin, au nord par le grand magasin Goum et à son extrémité ouest par le musée d'Histoire.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux, chef d'œuvre de l'architecture traditionnelle russe, fut bâtie par le tsar Ivan IV le terrible pour commémorer la prise de Kazan par les troupes russes. Sa construction commença en 1555. D'abord connue sous le nom de cathédrale de l'Intercession-de-la-Très-sainte-Mère-de-Dieu, elle est renommée d'après Saint-Basile-le-Bienheureux durant le règne de Fédor 1er. En 1930, Staline envisagea de la détruire pour gagner de l'espace sur la place Rouge. Finalement il ne mit pas son plan à exécution, et l'église fut transformée en musée. C'est toujours le cas aujourd'hui, cependant elle a été rouverte au culte en 1991. A l'origine l'église était entièrement blanche, et les chapelles étaient surmonté de dômes dorés. Les bulbes en relief multicolores et la décoration actuelle date du XVIIe siècle.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    Les murailles de brique rouge du Kremlin longent tout le côté sud de la place Rouge. A son extrémité, du côté de la cathédrale Saint-Basile, se dresse la tour Spasskaya (ou Tour du Sauveur), ornée d'une horloge sur ses 4 côtés. Du temps des tsars, c'était l'entrée principale du Kremlin. Cette tour, la plus haute de la muraille, a hérité d'un symbole de l'époque communiste, puisque l'aigle impérial qui trônait au sommet a été remplacé par une étoile rouge. Pour les nostalgiques de la période soviétique, le long de la muraille on peut aussi visiter le mausolée de Lénine.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    A l'autre extrémité de la place, le Musée historique d’État de Moscou, bâtiment de style néo-russe, ne passe pas inaperçu. Construit à la fin du XIXe siècle, il retrace l'histoire de la Russie depuis la préhistoire.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    Tout à côté du musée d'histoire, se trouvent 2 monuments qui furent détruits sous Staline et fort heureusement reconstruits depuis. La porte de la Résurrection, surmontée de ses deux tours, marque l'entrée de la place Rouge. Staline ordonna de la détruire pour faciliter l'accès des chars de l'armée rouge sur la place lors des parades militaires officielles. La porte fut reconstruite à l'identique entre 1994 et 1996.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale de Kazan, église orthodoxe située tout près, fut aussi détruite sous Staline, en 1936. Elle a été reconstruite d'après les plans de l'église d'origine au début des années 1990, par la ville de Moscou.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    Avant de quitter la place Rouge pour aller visiter le Kremlin ou faire des emplettes au magasin Goum, on s'arrête quelques minutes pour observer les Corneilles mantelées (Corvus cornix) et les Moineaux domestiques (Passer domesticus) qui animent les pelouses et les massifs autour de la place et profitent des miettes laissées par les passants.

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    La cathédrale Basile-le-Bienheureux et la Place Rouge

     

    Je vous souhaite à tous une très belle année 2022. Qu'elle nous permette encore d'explorer le monde et la nature qui nous entourent et de faire de belles découvertes !


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    On continue notre petit tour du Nord de l'Europe. Nous voici à Stavanger au sud-ouest de la Norvège. Stavanger est la quatrième ville de Norvège en nombre d'habitants, après Oslo, Bergen et Trondheim. Surtout connue pour les conserveries de harengs qui ont fait la richesse de la ville dès la fin du XIXe siècle, puis comme capitale de l'industrie pétrolière norvégienne, c'est une ville qui a d'autres atouts et mérite d'être visitée.

    Le quartier de Gamle Stavanger a conservé ses ruelles et ses petites maisons de bois peintes en blanc. C'est un véritable petit village de Noël, où vous trouverez toute l'année des boutiques d'artisanat.

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Même si les conserveries ne sont plus en activité, les produits de la mer restent incontournables à Stavanger, entre le marché au poisson et les restaurants qui proposent les spécialités locales.

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Sur le port, on peut visiter le musée du pétrole, et faire une pause ludique avec les enfants, dans le parc de jeux spécialement aménagé avec des pièces de plateforme pétrolière recyclées. 

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Stavanger, c'est aussi la nature. Les villes norvégiennes ne sont pas très grandes, les sentiers de randonnées ne sont jamais bien loin. Stavanger se situe à l'embouchure du Lysefjord, le plus méridional des fjords norvégiens. En toute saison la nature sauvage, les magnifiques paysages, les lacs translucides et les petites forêts de conifères vous enchanteront. 
     

    Stavanger, du hareng au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Pour terminer la visite de Stavanger, rien de mieux qu'un coucher de soleil sur la plage ! Un peu plus de temps aurait été nécessaire pour explorer le Lysefjord et partir en randonnée jusqu'au Preikestolen, le célèbre rocher plat qui culmine à 604 mètres au-dessus du fjord…

    Stavanger, des harengs au pétrole

     

    Toutes les photos de cette série ont été prises début novembre 2008 lors d'un grand week-end avec une de mes filles chez mes amis Marit et Jamie, que je remercie pour leur accueil ! C'est la deuxième fois que j'allais en Norvège : j'ai eu la chance de faire un stage de 2 mois à Oslo (dans une entreprise qui fabriquait des plateformes pétrolières), en 1991. C'est là que j'ai connu Marit, qui s'occupait de l'accueil des étudiants étrangers. La Norvège est un pays magnifique, j'aimerais bien y retourner !

    Joyeuses fêtes de fin d'année à tous !


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