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    Rocamadour est un village situé au nord du département du Lot. Lieu de pèlerinage millénaire, étape du chemin de Compostelle, sa notoriété dépasse nos frontières. Il est classé parmi les Plus Beaux Villages de France, ainsi qu'au patrimoine mondial de l'Unesco dans le cadre du classement des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. C'est un des lieux les plus visités de notre pays après le Mont-Saint-Michel et la Cité de Carcassonne. Autant dire que l'été ça se bouscule dans l'unique rue du village !

    Pour notre première visite en voisin, il y a un an, nous y sommes allés en mars et avons profité des avantages de la basse saison : parking gratuit et village très calme, sans la foule. Nous avons quand même trouvé un restaurant ouvert pour le déjeuner. Par contre, l'accès aux remparts du château était fermé (mais je ne suis pas sûre que ce soit un incontournable de la visite de la cité religieuse).
     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Rocamadour est agrippé aux falaises qui surplombent la vallée de l'Alzou, un affluent de la Dordogne. Au bord du ruisseau, on découvre quelques maisons, une tour carrée, autrefois moulin à eau, et le départ d'un chemin de randonnée. Un peu plus haut, le village proprement dit, avec sa rue commerçante bordée de boutiques et de restaurants.

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Encore plus haut, à flanc de falaise, se trouve le sanctuaire de Rocamadour, avec sa basilique Saint-Sauveur et ses sept chapelles, dont celle de la Vierge Noire, vénérée depuis le Moyen-Age. On y accède depuis la rue principale par le Grand Escalier et ses 216 marches. Au XIIIe siècle, le rayonnement du pèlerinage de Rocamadour était à son apogée. Son déclin commença avec la guerre de 100 ans et la peste noire. Les guerres de religions et la révolution de 1789 apportèrent aussi leurs lots de destruction, si bien que tous les édifices du sanctuaire étaient menacés de ruine au début du XIXe siècle. La reconstruction démarra vers 1858, après l'organisation d'une loterie par l'évêque de Cahors. Les travaux concernèrent les différents lieux de culte et le château, qui est situé encore un niveau au-dessus, en haut de la falaise.

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pour rejoindre le château et les points de vue sur le site, on peut emprunter le chemin de croix qui part du sanctuaire et serpente à l'ombre des arbres jusqu'au sommet de la falaise. Un ascenseur dessert le sanctuaire depuis le village, et monte jusqu'au niveau du château et des parkings, permettant à tous de profiter de Rocamadour.

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Pèlerinage à Rocamadour

     

    Lors de cette première visite à Rocamadour, nous avions repéré des Hirondelles de rochers plutôt faciles à observer, mais je n'avais pas apporté mon téléobjectif. J'y suis retournée il y a quelques jours, je vous montrerai bientôt les photos ! 


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    Je viens de terminer la lecture du livre Vivent les Corneilles, de Frédéric Jiguet, chercheur au Muséum d'Histoire Naturelle. Je vous le conseille vivement si vous vous intéressez aux corvidés ! Vous y apprendrez notamment pourquoi de nombreuses corneilles parisiennes portent des bagues colorées et numérotés, quels sont les mouvements de ces oiseaux dans la capitale et en dehors, et surtout comment la recherche permet d'envisager des solutions pour une meilleure cohabitation des corvidés avec les humains, en ville et à la campagne.

    Pour l'occasion j'ai retrouvé sur mon disque dur quelques photos de Corneilles noires (Corvus corone) parisiennes, le seul corvidé de couleur noire que l'on rencontre à Paris (les Corbeaux freux et les Choucas des tours, autrefois présents, ont disparu de la capitale).

    Comme dans le livre, on commence au Jardin des Plantes. C'est là que l'auteur a son bureau, et c'est là qu'il a capturé ses premières corneilles pour les baguer.
     

    Que vivent les Corneilles

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Allons maintenant faire un tour du côté de la Seine. Le jour où j'ai croisé cette corneille à la tête toute déplumée je me suis demandée ce qui lui arrivait. Rien de grave en fait, nous étions en septembre et elle faisait tout simplement sa mue. C'était sur les berges de l'île Saint-Louis, un coin où j'aimais aller photographier les Bergeronnettes des ruisseaux, ou les Chevaliers guignettes au moment de la migration.

    Que vivent les Corneilles

     

    Voici d'autres photos prises sur l'île Saint-Louis. Les quais de la Seine sont fréquentés toute l'année par l'espèce, parce qu'on y trouve de quoi manger, en particulier après les week-ends ensoleillés. Les corneilles consomment nos déchets et en mettent parfois partout en vidant les poubelles. Cependant il faudrait peut-être d'abord s'interroger sur notre production astronomique de détritus et sur le comportement de certains d'entre nous avant d'accuser les corneilles de salir nos rues. C'est un des sujets traités dans le livre de Frédéric Jiguet.

    Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Vous y apprendrez aussi que les corneilles aiment les frites et reconnaissent même les emballages de certaines chaînes de restauration rapide. Cette corneille photographiée au parc Montsouris maintient la frite avec sa patte pour la déguster. Elles aiment aussi le pain, qu'elles trempent dans l'eau pour le ramollir s'il est rassis. C'est ce que faisait la corneille de la photo suivante, photographiée sur le toit d'un arrêt de tramway près du parc Montsouris, un jour de pluie.
     

     Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Au cours de mes observations dans la capitale, en particulier pendant les années de prospection pour l'Atlas des oiseaux nicheurs du Grand Paris (2015-2018), j'ai eu l'occasion de faire quelques découvertes extraordinaires, dont je vous ai déjà parlé sur ce blog.

    J'ai en particulier trouvé un nid de corneille situé dans la boule métallique sous la croix du clocher de l'église Saint-Augustin, que j'avais appelé le plus beau nid de Corneille de Paris.

    Que vivent les Corneilles

     

    La corneille qui prenait un bain de fourmis à la ménagerie du Jardin des Plantes a été un autre grand moment d'observation des mœurs incroyables de ces oiseaux.

    Que vivent les Corneilles

     

    Il m'est difficile de faire un article sur les corneilles de Paris sans parler des deux autres espèces de corvidés que l'on trouve dans la capitale.

    Le Geai des chênes (Garrulus glandarius) est présent dans tous les parcs, plus discret et en plus petit nombre que la Corneille noire. Il est cependant très peu farouche en comparaison de ses congénères ruraux. C'est grâce à lui (ou à cause de lui) que je suis tombée dans la potion magique de l'ornithologie urbaine, au printemps 2010, en l'observant de très près au Jardin du Luxembourg. Voici quelques photos que je n'avais jamais publiées, les trois premières au Jardin des Plantes, et les deux dernières sur une des célèbres chaises du Jardin du Luxembourg.

    Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    On termine avec la Pie bavarde (Pica pica), présente un peu partout dans Paris, surtout dans les coins où il n'y a pas trop de Corneilles noires. On est actuellement en pleine saison de nidification des corvidés, d'ici quelques semaines les jeunes sortiront du nid. Vous en trouverez peut-être un au sol et vous vous demanderez comment l'aider. La meilleure chose à faire est de le placer en hauteur près de l'endroit où vous l'avez trouvé, les parents viendront le nourrir. Les corvidés n'abandonnent jamais leurs petits, et - c'est un autre enseignement du livre de Frédéric Jiguet - ces derniers ont besoin de leurs parents bien après avoir appris à voler, en particulier pour apprendre à trouver leur nourriture tout seul.

    Que vivent les Corneilles !

     

    Que vivent les Corneilles !

     

    Si cet article vous a plu et vous a donné envie d'aider les corvidés, alors n'attendez plus, faites un don à l'association LADeL (Les Amis de Lazare) ! Sur le site de l'association vous trouverez de nombreux conseils pour aider les corvidés en difficulté et sensibiliser vos proches à ces oiseaux magnifiques encore trop souvent mal aimés. 


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    Carennac est un village situé dans le nord du département du Lot, sur les bords de la Dordogne. Il se trouve à seulement quelques kilomètres d'Autoire, ce village au pied des falaises où nous avons rencontré le Tichodrome échelette. Comme Autoire, Carennac est classé parmi les Plus Beaux Villages de France. Les photos que je vous présente ici ont été prises fin février de cette année.

    Carennac est blotti autour de son église Saint-Pierre et de son prieuré, fondé par l'ordre de Cluny au Moyen-Âge. Il a conservé de nombreuses maisons aux fenêtres sculptées, construites au XVe et XVIe siècles, que l'on découvre en déambulant dans ses ruelles.

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    La chapelle Notre-Dame de Carennac est érigée dans un petit square accessible par des escaliers. Elle a gardé de son histoire mouvementée une inscription à demi-effacée "Liberté, Egalité, Fraternité", assez étonnante pour une chapelle. Lors de ma visite, je n'ai pas pu voir l'intérieur car elle était fermée.

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    Le village de Carennac en hiver

     

    Carennac en hiver

     

    Carennac en hiver

     

    Je m'étais déjà régalée en regardant les détails architecturaux des maisons du village, quand nous sommes arrivées dans une sorte de cour accessible par une porte percée dans l'enceinte du prieuré. Nous y découvrons l'entrée principale de l'église Saint-Pierre : en haut d'un escalier, de fines colonnes supporte un incroyable  tympan sculpté. Ce porche a été ajouté à l'église au milieu du XIIe siècle. L'église elle-même est de style roman, et date du XIe siècle. En hiver, le cloître et le château des Doyens sont fermés, cela me donnera l'occasion de revenir à Carennac. Nous avons quand même trouvé un endroit pour déjeuner, près de la mairie, en dehors de la partie médiévale du village : une épicerie / dépôt de pain qui propose tous les midis un plat du jour.

    Portes et fenêtres, dans les rues de Carennac

     

    Portes et fenêtres, dans les rues de Carennac

     

    Carennac en hiver

     

    Carennac en hiver

     

    La Dordogne coule en bordure du village. Le niveau de l'eau était très haut, suite aux pluies abondantes de l'automne et de l'hiver. La rivière était autrefois un axe commercial majeur. Les bateliers y transportaient toutes sortes de marchandises, à bord de leurs gabares, des bateaux à fond plat adaptés à la navigation fluviale. Ils emmenaient du bois à Bordeaux, d'où ils ramenaient sel, vin et produits exotiques.

    Carennac en hiver

     

    Carennac en hiver

     

    Non loin des berges de la Dordogne, près d'un petit ruisseau, se dresse une étonnante tour d'escalier du XVIe siècle. La maison qu'elle desservait en ces temps-là a disparu.

    Carennac en hiver

     

    Carennac en hiver

     

    Carennac est vraiment un joli village, à voir absolument si vous passez dans le nord du Lot. La visite peut très bien se faire avant ou à la suite d'Autoire et de Loubressac qui sont vraiment tout proches. Cependant je ne suis pas sûre que l'on apprécie autant les particularités et l'atmosphère que chaque village si on les visite les uns après les autres. Je préfère alterner avec des randonnées dans la nature. Et puis comme maintenant j'habite dans le Lot, j’ai tout mon temps pour les découvrir !

    Carennac en hiver


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    L'océan était presque invisible, caché par le brouillard. Sans la pluie qui venait de s'arrêter, et la forêt de pins qui se déployait au pied de la dune à l'opposé de la plage, on se serait cru sur Arrakis, la planète imaginaire où se déroule l'action du roman Dune de Frank Herbert, qui vient d'être adapté avec brio au cinéma par Denis Villeneuve.

    Cependant, l'endroit où je vous emmène aujourd'hui est bien réel. Il s'agit de la Dune du Pilat, la plus grande dune d'Europe, avec ses 103 mètres de haut, 600 m de large et 3 km de long. Ici le vent et l'océan sculptent le paysage depuis des millénaires. La première dune est apparue sur ce littoral il y a plus de 4000 ans. Les habitants de la région ont bien tenté de dompter les éléments en plantant des pins, mais la dune et le sable finissent toujours par avoir le dernier mot. Le site est maintenant protégé et son évolution est étroitement surveillée. La dune en elle-même n'est pas très fragile et supporte un grand nombre de visiteurs. C'est surtout l'action du vent qui la modifie au fil des années, bien plus que le piétinement des touristes. Par contre, les gestionnaires du site sont attentifs aux stationnements aux abords, surtout depuis les incendies de forêts de l'été 2022, et à la préservation des espèces botaniques rares qui s'épanouissent dans ce milieu si spécifique.

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    La Dune du Pilat

     

    Photos prises un jour de pluie de juin 2021 (si vous me suivez depuis un moment, vous devez savoir que lorsque je vais quelque part, j'ai souvent peu de chance avec la météo).

     


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  • Plusieurs espèces de limicoles passent l'hiver sur l'île de Ré. Lors de notre visite de la Réserve Naturelle de Lilleau des Niges, en février 2023, nous avons pu apercevoir certains de ces petits échassiers spécialistes des zones humides. Les photographier à cet endroit n'est pas très facile car il n'y a pas d'observatoire au bord de la réserve. Les oiseaux s'envolent facilement dès que des cyclistes ou des promeneurs passent près des bassins. Avec un peu de patience il est quand même possible de faire quelques rencontres.

    Voici tout d'abord les Bécasseaux variables (Calidris alpina). Ce bécasseau assez petit est le plus commun des limicoles européens. Il est court sur pattes, d'aspect trapu. Son bec noir est assez long et légèrement incurvé vers le bas. Les pattes sont noires. En plumage hivernal comme ici, le dessous est blanc tandis que le dessus est gris. Le plumage nuptial est totalement différent (rien n'est simple avec les limicoles) : une large tache noire apparaît sur le dessous, tandis que le dos et les ailes prennent une teinte rousse. En France, on le voit surtout en plumage hivernal, en effet le Bécasseau variable niche plus au nord, principalement dans la toundra arctique.

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Le Chevalier arlequin (Tringa erythropus) est un limicole de taille moyenne, comme on peut le voir sur la première photo ci-dessous, avec des Bécasseaux variables en arrière plan. Ce jour-là j'étais un peu loin pour les photos, mais elles permettent quand même de se familiariser avec l'espèce. Il y a quelques jours, je suis retournée en Camargue et j'en ai réussi de plus belles, vous pourrez les voir sur Oiseaux.net en attendant que je les publie ici. On reconnaît le Chevalier arlequin à ses pattes rouges et à la base de son bec également rouge. En plumage hivernal, le dessus est gris et le dessous blanc. On peut alors le confondre avec le Chevalier gambette, mais il est plus grand que ce dernier, son allure est plus élancée et ses pattes sont plus longues. En été, par contre, le Chevalier arlequin est inconfondable : son plumage devient entièrement noir.

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Les photos suivantes sont intéressantes pour comparer les tailles des différentes espèces de limicoles. Sur chacune des trois photos, l'oiseau le plus grand est une Barge à queue noire (Limosa limosa). La première est encore en plumage hivernal (gris et blanc), alors que les deux autres sont en transition vers le plumage nuptial (à dominante de roux, en particulier au niveau de la tête et du cou). Si vous avez tout suivi, vous aurez trouvé que sur les trois photos, les petits limicoles bas sur pattes sont des Bécasseaux variables, et sur les deux dernières, l'oiseau de taille intermédiaire avec les longues pattes rouges est un Chevalier arlequin.

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Le dernier oiseau que je souhaite vous présenter ici est le Chevalier aboyeur (Tringa nebularia). Là encore j'espère le rencontrer à nouveau pour faire de meilleures photos. Le Chevalier aboyeur est un des plus grands chevaliers observables en France. Il est légèrement plus grand que le Chevalier arlequin (vu plus haut). Son plumage est à dominante grise, avec des pattes verdâtres assez longues et un bec gris. Sur les 2 dernières photos, on le voit respectivement avec un Chevalier culblanc et un Chevalier gambette, cela donne une idée des tailles respectives.

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Limicoles à la Réserve de Lilleau des Niges

     

    Ici se termine notre visite de la réserve. J'espère vous avoir permis d'en apprendre un peu plus sur l'identification des limicoles, ces petits oiseaux de rivage si attachants.

     


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