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    Voici une nouvelle série de photos prise à Angoulême, dans le département de la Charente, cette fois durant l'année 2020. Malgré les péripéties sanitaires, les confinements et autres interdictions de circulations, j'ai quand même réussi à y aller 3 fois dans l'année.

    Janvier, juste après le nouvel an

    On commence par une promenade "by night", avec le conservatoire du Grand-Angoulême (un ancien collège jésuite revisité dans les années 1980, lors de la création du conservatoire, avec l'ajout d'une structure en verre), et les Halles d'Angoulême, décorées pour les fêtes de fin d'année.

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Il faisait beau en ce début 2020, ça donnait envie d'aller se promener, direction la Charente, en passant par la nouvelle passerelle de la gare. Cette passerelle, qui relie le parvis de la gare à la médiathèque et au quartier de l'Houmeau, est à Angoulême ce que le téléphérique des Capucins est à Brest : un projet qui a mis des années à voir le jour, et dont le but était de désenclaver certains quartiers. Finalement inaugurée en mai 2019, la passerelle d'Angoulême est un chouette moyen pour rejoindre plus rapidement les berges du fleuve depuis le quartier de Bel-Air. Au passage, j'aperçois un Ouigo qui rentre en gare. Rien d'extraordinaire me direz-vous, mais souvenez-vous, nous connaissions fin 2019-début 2020 une période de grève contre une certaine réforme des retraites, passée au second plan depuis… Aucun train ne s'était arrêté en gare d'Angoulême pendant des semaines.

    Angoulême au fil des saisons

     

    Les traces du passé industriel d'Angoulême sont encore bien visible, en particulier vers les bords de la Charente. Angoulême était connue pour la qualité de son industrie papetière, qui perdura jusque dans les années 1960. Certains bâtiments semblent abandonnés, d'autres sont progressivement intégrés dans des projets du Pôle Image (la BD et le cinéma d'animation ont remplacé la fabrication du papier)… Ce matin là le ciel bleu se reflétait dans les eaux de la Charente, qui coule paresseusement au pied de la citadelle d'Angoulême.

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Juin : un air de fin du monde 

    Je ne sais pas si vous l'avez remarqué, à chaque fois que des restrictions de circulation étaient levées, il faisait un temps pourri. Début juin 2020, on venait d'obtenir l'autorisation de dépasser les 100 km autour de notre domicile. Les bars et les restaurants rouvraient, avec des protocoles sanitaires stricts. La ville d'Angoulême, vidée de ses étudiants suite au confinement du printemps, semblait déserte. C'est du moins comme cela que je l'ai perçue. Petite balade en passant par les Halles, la rue des Arceaux, l'Hôtel de Ville, la Cathédrale Saint-Pierre (en travaux, il faudra que j'y retourne quand ce sera terminé), l'ancien couvent des Cordeliers (visiblement j'ai raté le vitrail du pignon, c'est comme ça quand on se promène au hasard)…

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Août : une soirée tout en couleur

    Fin de l'été, on pensait se diriger vers une rentrée à peu près normale, même les arbustes avaient fleuris. Petit circuit du quartier de Bel-Air jusqu'à l'église Saint-Jacques de l'Houmeau, en passant par la passerelle de la gare et l'Alpha, la médiathèque d'Angoulême.

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    Angoulême au fil des saisons

     

    On se retrouve dans quelques jours pour la visite d'un joli village de l'Angoumois. En attendant, portez-vous bien et faites attention à vous !


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    Lors de mon bref séjour à La Rochelle en novembre 2019, j'ai pu observer, en dehors des Bernaches cravants dont je vous ai parlé précédemment, quelques autres espèces d'oiseaux pour la plupart assez communes sur nos côtes.

    Sur le Vieux Port, en arrivant de la gare, j'ai très rapidement aperçu des Tournepierres à collier (Arenaria interpres), particulièrement faciles à approcher. C'est souvent le cas des oiseaux qui ont l'habitude de la vie urbaine, et qui savent qu'en ville, les humains sont en général moins dangereux que dans les zones plus sauvages où certains d'entre eux sont encore chassés. Les oiseaux sont capables de s'adapter au danger potentiel des différentes zones qu'ils fréquentent ! Par exemple, les Pigeons et Tourterelles qui picorent sur une route s'envolent plus ou moins rapidement à l'approche d'un véhicule selon qu'ils se trouvent en agglomération ou en pleine campagne !

    Revenons-en à nos Tournepierres à collier : ce sont des limicoles d'assez petite taille et plutôt trapu, facile à reconnaître grâce à leurs courtes pattes orange, même si leur plumage hivernal (gris-brun dessus et blanc dessous) est moins coloré que leur plumage nuptial (bariolé de roux et de noir sur le dessus). A La Rochelle, au moment de la pleine mer, on les trouve facilement sur les quais du vieux port. Il y en avait aussi plus loin, vers la tour de la Lanterne, avec les Bernaches cravants (voir dernière photo de la série, qui montre la différence de taille entre les deux espèces).

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Fidèles au poste sur le port, nous avons bien sûr les Mouettes rieuses (Chroicocephalus ridibundus). La lumière de cette fin d'automne mettait bien en valeur leur plumage hivernal rehaussé par le rouge des pattes et du bec.

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Comme dans presque toutes les villes du monde, il y a aussi des Pigeons bisets domestiques (Columba livia) à La Rochelle. Ici un beau spécimen au plumage atypique et aux yeux clairs, rencontré dans le même secteur que les Bernaches cravants.

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Après ces jolies rencontres dans le secteur du Vieux Port, je me suis aventurée un peu plus loin en longeant les quais, jusqu'à la Baie de Port Neuf et l'étang du même nom. En bordure de la baie, des mouettes se reposaient. Je ne pensais pas m'y attarder, elles n'étaient pas si proches que celles du Vieux Port, mais parmi ce groupe important de Mouettes rieuses, j'aperçu une jolie surprise : une Mouette mélanocéphale (Ichthyaetus melanocephalus). Les critères pour la différencier de la Mouette rieuse sont assez subtils : chez l'adulte le bout des ailes est blanc alors qu'il est noir chez la rieuse, le dos est d'un gris plus clair, les motifs noir sur la tête (en plumage hivernal) sont en général plus diffus, le bec est plus droit et plus épais. La Mouette mélanocéphale est à l'origine une mouette du sud-est de l'Europe, du côté de la Mer Noire. L'espèce est en expansion vers l'ouest. Ses populations, que ce soit l'hiver ou en période de reproduction, sont en forte augmentation en France. On peut souvent l'observer à l'unité dans les groupes de Mouettes rieuses.

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    En novembre, rare sont les oiseaux qui s'aventure à chanter. Le Rougegorge familier (Erithacus rubecula) est un des seuls. C'est toujours un plaisir de rencontrer ce petit passereau peu craintif envers l'homme.
     

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Avant de faire demi-tour vers la vieille ville, j'ai jeté un coup d'œil à l'étang de Port Neuf où s'ébattaient quelques Goélands et Mouettes, des Canards colverts et cette jolie Foulque macroule (Fulica atra).

    Tournepierres et Mouettes sur le vieux port de La Rochelle

     

    Dans le prochain article, on restera dans les Charentes, mais on quittera le bord de mer pour une ville que je ne me lasse pas d'explorer.


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    En novembre 2019, je suis allée à La Rochelle, pour observer et photographier des Bernaches cravants. Mais qui sont donc ces petites oies si attachantes ? Quand et où peut-on les observer facilement ? C'est ce que nous allons voir dans la suite !

    Les Bernaches cravants 

    La Bernache cravant (Branta bernicla) est une oie de petite taille, légèrement plus grande qu'un Canard colvert. Son plumage est de couleur globalement sombre : la tête et le cou sont noirs, séparé par une petite marque blanche formant comme un collier à demi effacé. La poitrine et l'extrémité des ailes (rémiges primaires) sont également de couleur noire, tout comme le bec, les pattes et les yeux. Le dessous est gris-brun foncé, le dessous est dans les mêmes tons et strié d'une couleur plus claire sur les côtés. Seul le dessous de la queue, d'un blanc immaculé, contraste avec la couleur générale de l'oiseau.

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    Chez les jeunes de l'année, la marque blanche au niveau de cou est presque invisible, les côtés ne sont pas striés, par contre les plumes du dessus des ailes (couvertures alaires) sont bordées d'un liséré clair. La distinction entre jeunes et adultes permet aux ornithologues de faire des statistiques pour savoir si la saison de reproduction s'est bien déroulée. 

    Les Bernaches cravants

     

    Certains diront que le plumage de la Bernache cravant est peu coloré et manque de contraste. On ne peut pas en dire autant du mode de vie de ce sympathique palmipède !

    En effet, les Bernaches cravants nichent sur les côtes de l'Océan Arctique, plus précisément en Russie, à l'extrême nord de la Sibérie (péninsule de Taïmyr), pour celles qui nous rendent visite l'hiver. Le succès de leur reproduction dépend en partie des fluctuations des populations de lemmings : lorsque ces derniers se font rares, les prédateurs se rabattent sur les œufs et les poussins des Bernaches cravants. Une fois les jeunes bien emplumés, à la fin de l'été, tout ce petit monde migre vers des régions plus clémentes. La France accueille ainsi, sur les côtes bretonnes et atlantiques, près des deux tiers de la population mondiale de la sous-espèce dite "à ventre sombre". Les Bernaches arrivent chez nous en octobre-novembre et repartent en mars. A l'aller et au retour, elles observent une halte dans la région de la mer des Wadden, sur les côtes allemandes entre les Pays-Bas et le Danemark.

    Les Bernaches cravants

     

    Contrairement aux autres espèces d'oies, qui broutent de l'herbe sur la terre ferme, la Bernache cravant consomme presque exclusivement une plante aquatique marine appelée zostère, et accessoirement des algues. La protection des herbiers à zostère est donc fondamentale pour la conservation de l'espèce.

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    Les principaux sites d'hivernage de la Bernache cravant en France sont par ordre d'importance : le bassin d'Arcachon, les côtes des Charentes, le Golfe du Morbihan, la baie de Bourgneuf (Vendée) et la baie du Mont-Saint-Michel. J'avais pensé me rendre à Andernos-les-Bains, au nord du bassin d'Arcachon, mais une info trouvée sur les réseaux sociaux m'a permis d'en observer plus facilement : une douzaine d'entres-elles trainaient dans le port de la Rochelle en ce mois de novembre 2019 et semblaient plutôt faciles à approcher.

    Il ne m'a pas fallu bien longtemps pour les trouver, une heure après avoir débarqué du TGV en provenance de Paris, sur le port non loin de la tour de la Lanterne : la petite troupe de Bernaches cravants nageait en direction de l'Océan, et puis elles ont décidé de se rapprocher de la rive pour grignoter les algues qui poussaient sur les pavés. J'ai passé une bonne heure en leur compagnie, au soleil, malgré le froid de cette fin novembre.

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    D'après le site naturaliste Faune France, les Bernaches cravants s'observent tous les hivers de manière régulière dans le port de La Rochelle, certes en petit groupe, mais vu la géographie du site, elles ne sont jamais bien loin de la rive, ce qui est un plus pour l'observateur novice qui souhaite découvrir l'espèce.
     

    Les Bernaches cravants

     

    Les Bernaches cravants

     

    L'hiver, les Bernaches cravants sont grégaires. Elles communiquent beaucoup, se chamaillent en se criant dessus mais aussi en sifflant et en tirant la langue vers l'adversaire. On ne voit vraiment pas le temps passer en leur compagnie, surtout lorsqu'on a la chance d'être seulement à quelques mètres.

    Les Bernaches cravants

     

    On se retrouve bientôt, toujours à La Rochelle, pour faire la connaissance d'autres oiseaux observés sur le port, également dans de très belles conditions de proximité.


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    La Rochelle est un port de la côte Atlantique, situé en Charente-Maritime. En novembre 2019, j'y suis allée sur un coup de tête, pour 3 raisons distinctes : me changer les idées, photographier les Bernaches cravants, de charmantes petites oies qui passent l'hiver sur nos côtes, et visiter l'exposition sur l'Île de Pâques qui se tenait au Museum d'Histoire Naturelle de la ville.

    Mais ce n'est pas ce dont je vais vous parler ici. Je ne connaissais pas La Rochelle, j'ai découvert un port attachant et une vieille ville charmante, où l'on trouve des restaurants ouverts même en novembre (bon ça c'était dans le monde d'avant). La ville est desservie par le TGV depuis Paris. La gare se trouve à quelques pas du port et de la veille ville, idéal pour une visite même brève. Que peut-on donc faire en 2 jours à La Rochelle ? C'est ce que nous allons découvrir dans la suite de cet article.

    La Rochelle est un port, et donc pour moi un endroit très inspirant car c'est une invitation au voyage (il ne m'en faut pas beaucoup à ce niveau là, même les stations d'autoroute me font rêver). 

    Sur le port de La Rochelle

     

    L'histoire de la Rochelle fut mouvementée et pas toujours glorieuse : au Moyen-Âge la ville était tantôt sous domination anglaise, tantôt rattachée au Royaume de France, puis elle fut un bastion du Calvinisme et eut à souffrir des guerres de Religion. Malgré cela La Rochelle fut durant plusieurs siècles un port très prospère, grâce au commerce du vin et des eaux-de-vie, et au commerce triangulaire avec l'Afrique et le Nouveau-Monde. Cette période délicate de l'histoire de la ville est retracée dans un musée, le Musée du Nouveau Monde, premier musée français à aborder la traite et l'esclavage dans les Antilles. Je n'ai malheureusement pas eu le temps de le visiter.

    L'entrée du vieux port est défendu par deux tours : la plus grande se nomme la Tour Saint-Nicolas, l'autre la Tour de la Chaîne. En temps normal, les deux tours se visitent.
     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Un peu plus loin, en allant vers l'Océan, une troisième tour, la Tour de la Lanterne, servait de phare mais aussi de prison. C'est la plus haute des trois, et le seul phare médiéval de la côte atlantique encore debout. Un billet groupé donne accès aux 3 tours.

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Entre la gare et le vieux port se trouve le quartier du Gabut, avec ses maisons de bois et ses fresques peintes sur des bâtiments désaffectés. J'y ai même trouvé un cormoran et une aigrette, que j'avais d'abord aperçus au loin depuis la terrasse d'un café sur le port.

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Lorsque tombe la nuit, les tours sont illuminées. C'est aussi un moment agréable pour flâner sous les arcades de la vieille ville. Cette architecture particulière date du XVIIe siècle et permettait aux commerçants d'exposer leurs marchandises à l'abri des caprices du climat océanique.

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    La Grosse Horloge est une porte qui permettait autrefois de franchir l'enceinte qui séparait le port de la cité. Plusieurs fois remaniée, elle ne se visite pas mais se franchit encore de nos jours.

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Sur le port de La Rochelle

     

    Voilà donc un petit aperçu de ce que l'on peut faire à la Rochelle en moins de deux jours : flâner sur le port et la veille ville, visiter les trois tours, et peut-être un musée ou deux, surtout s'il pleut.

    Parce que c'était une des raisons de ma visite, je vous présenterai prochainement les Bernaches cravants. Par contre il n'y aura pas d'article sur l'exposition consacrée à l'Île de Pâques, car je n'y ai pas fait de photo, et puis c'est bien plus intéressant de visiter Rapa Nui en vrai ! Pour cela, je vous invite à relire mes articles sur le Chili et l'Île de Pâques.


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    Depuis l'an dernier, je vais régulièrement à Angoulême, l'occasion d'y faire quelques photos de cette ville bien agréable. Je vous présente ici une série d'images prises au fil de mes pas, dans les quartiers et le centre historique, avec entre autre de la BD et des murs peints, capitale de l'image oblige !

    Angoulême : nouvelles photos

     Cour, vue de l'hôtel d'Orléans, quartier de la gare

     

    Angoulême : nouvelles photos

     Le Champ de Mars

     

    Angoulême : nouvelles photos

     Avenue Gambetta

     

    Angoulême : nouvelles photos

     « Un samedi à Malakoff », avenue Gambetta

     

    Angoulême : nouvelles photos

    Le Ginkgo biloba du Square Daras

     

    Angoulême : nouvelles photos

    Lucky Luke et Jolly Jumper

     

    Angoulême : nouvelles photos

     Dans le centre historique

     

    Angoulême : nouvelles photos

     Rampe d'Aguesseau

     

    Angoulême : nouvelles photos

    Armoire électrique, avenue Gambetta

     

    Angoulême : nouvelles photos

     Rue du Tunnel, quartier de la Grand Font

     

    Angoulême : nouvelles photos

    « New York sur Charente», rue de la Grand Font

     

    Cette dernière fresque me permet de faire la transition avec la prochaine série d'articles, qui nous refera traverser l'Atlantique, destination l'Ouest américain.  


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